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EGLISE CATHOLIQUE LIBERALE


Province de France, de Suisse Romande


et d'Afrique Francophone

PAROISSE SAINT MICHEL DE PARIS

14, rue Tesson - 75010 PARIS -

Métro : Goncourt TEL 01-42-39-43-16


Cultes :

>Dimanche 10 h 15 Culte de Notre Dame / 10 h 30 Grand-Messe Solennelle

>Mercredi 19 h 30 Onction aux malades, suivie de la Communion, des Vêpres, du Service de Complies ou de la Bénédiction du Saint Sacrement

>Samedi 17 h 00 Onction aux malades, suivis de la Communion, et la Bénédiction du Saint Sacrement


Evêque Régionnaire Mgr. Christian SCHOCH



Recteur Didier VLERIC assisté de Athanase MATUNGULU KABA Prêtres : M.CHANUDEAUD - Raphaël D'OLLONE -

Séverin NKOUNKOU - Charles M'BERI - Francis LEDUC -Pierre Mbog - .

Prime et Complies


Prime est un des services du matin, et Complies l'un des services du soir. Les services plus importants, tels que la Sainte Eucharistie, les Vêpres et la Bénédiction sont destinés principalement à déverser sur le monde la force spirituelle ; tandis que ces Offices mineurs peuvent être envisagés comme étant spécialement destinés pour aider ceux qui y prennent part..


Prime et Complies sont de courts services qui peuvent être conduits par un laïque en cas de nécessité. Prime peut être employée lorsque la Sainte Euchatistie ne peut pas être célébrée, ou comme préparation à celle-ci ; Complies comme complément aux Vêpres, ou lorsque le Vêpres et la Bénédiction ne sont pas possibles, comme le soir du Vendredi Saint.

Vêpres


C'est un service du soir datant des premiers siècles de l'Église. Dans la Règle de Saint Benoît elles paraissent presque sous leur forme romaine actuelle. Dans la liturgie de l'E.C.L., les Vêpres sont principalement composées de 5 psaumes et d'une hymne à la louange de la Sainte Trinité et d'un cantique (le Te Deum ou le Magnificat). La louange étant le principal objet du service, 3 psaumes lui sont consacrés. Des deux autres, l'un exalte la vie divine, l'autre la sagesse. Les 5 sont destinés tout spécialement à éveiller l'enthousiasme chez les fidèles, et à exalter au plus haut degré possible leurs pensées et leurs sentiments. Afin d'ateindre ce résultat, il est nécessaire que tous les assitants se joignent au chant des psaumes en donnant leur attention entière au texte, en esseyant de le sentir et de le comprendre.


Au lieu d'employer les psaumes tels qu'ils sont, nous avons évité tous les versets exprimant une idée de menace ou de servilité ou n'ayant aucun sens, et nous les avons composés avec tout ce que nous avons trouvé de plus beau et de plus approprié dans les Saintes Ecritures.


Mgr. Leadbeater écrit : "Lors du chant des psaumes, l'église tout entière se remplit de forces ardentes se manifestant par d'énormes nuages de lumièe éclatante. Pendant toute la durée des chants, ces nuages s'accumulent, d'étalent dans le sanctuaire, tourbillonnent au-devant de l'autel, s'élèvent en tourbillonnant pour redescendre à nouveau, en devenant toujours plus denses, émettant des ondes qui s'élancent de tous côtés. Le plus souvent, ces nuages sont de diverses teintes de bleu (couleur de la dévotion), mais parfois des étoiles d'or (couleur de l'aspiration) surgissent au milieu, ou des rayons d'or en forme de cônes vacillent comme des flammes. Par-dessus tout cela, vient la lecture du Capitule entourée d'une pompe destinée à aider à la diffusion de la pensée dominante, l'amour, qui se déverse en un courant de couleur rouge. Le Capitule fournit une immense force d'amour, tandis que l'hymne à la Sainte Trinité qui suit immédiatement indique la direction dans laquelle nous devons orienter cette force. Cette hymne produit un bouillonnement vigoureux dans la masse dense des nuages, qui commence à l'élever en une forme conique semblable à celle d'une immense cloche. C'est ici que se place le magnificat ou le Te Deum. Pendant l'exécution de ce cantique, l'autel est solennellement encensé, ainsi que le clergé, le choeur et les fidèles. L'encens attire l'attention des anges qui se trouvent dans le voisinage. Ceux-ci s'emparent des nuages de lumière lourdement chargés qui ont été générés pendant la première partie du service, et le forment rapidement en un vortex tourbillonnant autour de l'officiant et de ses assistants ; un vortex duquel s'élance un jet de force à haute tension, qui forme un grand cylindre atteignant et dépassant le toit de l'église. En lui se déverse, en un grand courant bleu et rose, l'amour dévotionnel des fidèles, renforcé par celui des saints anges. La réponse descend en un torrent blanc et or formant un autre cylindre plus large qui entoure celui qui s'est élevé. La force qui passe au travers rayonne sur une large étendue dans la contrée environnante, en grande partie sur les fidèles. Cet afflux attire et intensifie considérablement toutes les bonnes pensées et tous les bons sentiments qui flottent aux alentours".


La force rayonnant durant le service des Vêpres est différente de celle qui est donnée à la Sainte Eucharistie. Cette dernière est un don spécial du Christ Lui-même, tandis que la force des Vêpres provient directement et totalement de la Sainte Trinité. La force donnée à la Sainte Eucharistie est dirigée sur telle ou telle personne en particulier et consacrée à des objets définis, tandis que la force des Vêpres inonde le voisinage comme une mer : elle est moins sous le contrôle du prêtre et les Anges se contentent de faciliter son afflux, ne faisant aucun effort particulier pour la répartir.


  

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Les Vêpres


Les offices du soir et du matin

Bénédiction du Très Saint Sacrement


Ce service date du XIIIème siècle. Ce qui en forme la caractéristique essentielle, c'est que l'Hostie est enlevée du tabernacle et placée dans l'ostensoir pour être exposée à la vénération des fidèles ; on donne ensuite avec elle une Bénédiction solennelle.


Durant le service, nous chantons les hymnes qui ont toujours été chantés traditionnellement, quoique en langue vulgaire au lieu du latin (car nous attachons une grande importance à ce que tout, dans nos services, soit aisément compréhensible, afin que toute les personnes présentes puissent s'y joindre de façon intelligente). Comme unique changement, notre Église substitue à la litanie de Notre Dame, une litanie adressée à notre Seigneur Lui-même, qu'elle juge mieux appropriée à cette circonstance.


A la Bénédiction, le célébrant porte un surplis, une étole et une chape blanches. Lorsqu'il est assisté par un diacre et un sous-diacre en dalmatique et en tunique, il porte l'amict, l'aube et le cordon au lieu d'un surplis. Pour accomplir dignement ce service, il doit y avoir un servant qui apportera le voile huméral et qui sonnera la cloche, ainsi qu'un thuriféraire. Au moins 12 cierges doivent brûler sur l'autel et même davantage si c'est possible.


L'Hostie est une sorte d'avant-poste de la conscience du Christ et lorsque Son attention est attirée par l'appel du Ô Salutaris Hostia et de l'encensement, l'Hostie brille immédiatement, en réponse, d'un vif éclat. L'Hostie brille constamment lorsqu'elle est dans le tabernacle, mais elle répond en intensifiant sa lumière à tout acte solitaire d'adoration qui est offert par son intermédiaire.


Après la procession lorsqu'il y en a une, les litanies et le chant du Tantum Ergo, durant lequel l'encens est de nouveau offert, le célébrant descend l'ostensoir du trône, le prend à deux mains avec le voile huméral et le tient devant sa poitrine. Il se tourne ensuite lentement à droite jusqu'à ce qu'il soit en face des fidèles et fait avec l'ostensoir le signe de croix sur eux, en désirant très fortement que la bénédiction du Christ les inonde. Si c'est un évêque qui officie, il fait trois fois le signe de croix, vers le sud, face aux fidèles et vers le nord. Entre temps, le thuriféraire balance l'encensoir et un servant sonne la cloche du sanctuaire.


Le déversement de force est formidable. C'est littéralement comme si le Christ Lui-même était présent et bénissait Son peuple, car la personnalité du célébrant n'entre pas du tout en ligne de compte, celle-ci étant complètement annihilée par le voile huméral isolateur.


            1. Dans la bénédiction ordinaire donnée à la fin d'un service, la bénédiction du Christ est donnée à travers la personnalité             du prêtre ou de l'évêque, car la force descend de notre Seigneur dans les principes supérieurs de Son représentant, principes             qui furent unis tout spécialement à ceux du Seigneur lors de l'ordination. Elle passe des principes supérieurs du prêtre dans             l'esprit et dans le corps astral de celui-ci, qui la répand sur les fidèles par un effort de volonté. Ainsi, une partie du transfert             des plans supérieurs aux plans inférieurs à lieu au-dedans du prêtre lui-même et il est inévitable que l'influence soit colorée             par le médium au travers duquel elle passe. Lorsque la bénédiction ordinaire est donnée par un évêque, le lien unissant             celui-ci à son Maître étant plus étroit, le déversement au travers de sa personnalité est donc beaucoup plus important.             D'autre part, son anneau est en contact magnétique avec le Christ et sa croix pectorale ainsi que sa crosse avec les Chefs des             sept Rayons, ce qui fait qu'une vaste masse d'énergie, tout à fait en dehors de lui, est également mise en mouvement.

            2. La Bénédiction du Saint Sacrement vient directement du Christ Lui-même, sans aucun intermédiaire humain. La force que             notre Seigneur déverse dans l'Hostie rayonne directement sur les fidèles et cette différence de nature est immédiatement             perçue par les sensitifs. Dans la Bénédiction avec le Très Saint Sacrement, la ligne de communication qui unit l'Hostie au             Christ au moment de sa consécration, fait que l'afflux de force est tout à fait indépendant du prêtre. Il y a toujours un courant             régulier de grâce provenant de l'Hostie, mais, au moment de la Bénédiction, la volonté du célébrant met le courant en             mouvement et le projette avec plus de puissance.


Mgr. Leadbeater ajoute : "Pour qui possède la clairvoyance, la scène de la bénédiction est d'une beauté indescriptible. Un nombre de sphères concentriques de lumière, chacune ayant à sa surface une sorte de tension, retient temporairement l'énergie et en permet une certaine accumulation. Cette surface est extensible et s'élargit au fur et à mesure qu'augmente la pression. Tandis que le célébrant élève l'ostensoir pour la bénédiction, la force s'élance au travers du verre comme la lumière d'un phare et dissout instantanément la partie de la sphère qui lui est opposée, ce qui fait que lorsque le célébrant se tourne lentement, toute la forme se brise, et toute l'énergie amassée se déverse horizontalement sur les fidèles et le monde environnant."